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Se guérir soi- même

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Se guérir soi- même Empty Se guérir soi- même

Message par Invité Dim 10 Juil - 10:05

GUERIS TOI
TOI-MEME


Pour comprendre la nature de la maladie certaines vérités fondamentales doivent être reconnues. La première d’entre elles est que l’homme a une Ame qui est son Moi réel, un Etre Divin, puissant, un Fils du Créateur de toutes choses, duquel le corps bien qu’étant le temple de cette Ame, n’est qu’un infime reflet : que notre Ame, notre Divinité qui réside en nous et autour de nous, sacrifie pour nous nos vies puisqu’Il a souhaité qu’elles le fassent et, tant que nous le permettrons, nous guide toujours, nous protège et nous encourage, attentive et bienveillante à nous mener toujours pour notre meilleur avantage : que Lui, notre Moi Supérieur, étant une étincelle du Tout-Puissant, est par-là même invincible et immortel.

Le second principe est que nous sommes, comme nous le savons dans ce monde, des personnalités descendues dans le but d’acquérir toute la connaissance et l’expérience qui peut être obtenue à travers l’existence terrestre, de développer des vertus qui nous manquent et d’effacer tout ce qui est mauvais en nous, avançant ainsi vers la perfection de nos natures. L’Ame connaît quel environnement et quelles circonstances nous rendront mieux capables de faire ceci, et donc Elle nous place dans cette branche de vie la mieux adaptée à chaque objectif.
Troisièmement, nous devons réaliser que le court passage sur cette terre, que nous connaissons en tant que vie, n’est qu’un moment dans le cours de l’évolution, comme un jour à l’école l’est pour la vie, et bien que nous ne puissions seulement voir et comprendre pour le moment que ce jour, notre intuition nous dit que la naissance fut infiniment loin de notre commencement et la mort infiniment loin de notre fin. Nos âmes, qui sont véritablement nous-mêmes, sont immortelles et les corps dont nous sommes conscients sont temporairement, simplement tels des chevaux que nous conduisons le temps d’un voyage, ou des instruments que nous utilisons pour faire une pièce de l’œuvre.

Alors suit le quatrième grand principe, qu’aussi longtemps que nos Ames et nos personnalités sont en harmonie, tout est joie et paix, bonheur et santé. Ce n’est que lorsque nos personnalités s’égarent du sentier, sacrifiées par l’Ame, soit par nos propres désirs terrestres, soit par la persuasion des autres, qu’un conflit s’élève. Ce conflit est la cause racine de la maladie et du chagrin. Peu importe notre travail dans le monde—cireur ou monarque, propriétaire ou paysan, riche ou pauvre, aussi longtemps que nous accomplirons ce travail particulier en accord avec les ordres de l’Ame, tout est bien ; et nous pouvons être assurés que
Quelle que soit la situation de vie où nous soyons placés, royalement, ou misérablement, elle contient les leçons et les expériences nécessaires au moment de notre évolution, et nous donnent le meilleur avantage pour notre développement personnel.

Le grand principe suivant, est la compréhension de l’Unité de toutes choses : que le Créateur de toutes choses est l’Amour, et que chaque chose dont nous ayons conscience est, dans toute son infinité de formes, une manifestation de cet Amour, qu’elle soit une planète ou un caillou, une étoile ou une goutte de rosée, un homme ou la plus petite forme de vie. Il est possible d’avoir un aperçu de cette conception en pensant à notre Créateur comme à un grand soleil enflammé de bienveillance et d’amour et en son centre un nombre infini de rayons irradiant dans toutes les directions, et que nous et tout ce dont nous sommes conscients sommes les particules au bout de ces rayons, envoyés pour acquérir expérience et connaissance, mais finalement pour retourner vers le grand centre. Et bien que pour nous chaque rayon puisse apparaître séparé et distinct, il est en réalité une partie du grand Soleil central.
La séparation est impossible, car aussitôt qu’un rayon est coupé de sa source il cesse d’exister. Ainsi nous pouvons comprendre un peu l’impossibilité de la séparation, quoique chaque rayon puisse avoir son individualité, il est néanmoins une partie du grand pouvoir créatif central. Ainsi toute action contre nous-mêmes ou contre d’autres affecte le tout, parce qu’en causant une imperfection dans une partie elle se réfléchit sur le tout, dont chaque particule doit au final devenir parfaite.
De cette manière nous voyons qu’il y a deux grandes erreurs fondamentales possibles : la dissociation entre nos Ames et nos personnalités, et la cruauté ou le mal pour les autres, car ceci est un péché contre l’Unité. L’une de ces erreurs apporte le conflit, qui mène à la maladie. Une compréhension du domaine où nous commettons une erreur (que si souvent nous ne réalisons pas) et un effort sérieux pour corriger la faute mènera non seulement vers une vie de joie et de paix, mais aussi de santé.

La maladie est en elle-même bienfaisante, et a pour objectif de ramener la personnalité vers la divine volonté de l’Ame ; et ainsi nous pouvons voir ce qui est à la fois prévisible et évitable, puisque si nous pouvions réaliser seulement pour nous-mêmes les erreurs que nous commettons et les corriger par des moyens mentaux et spirituels, il n’y aurait plus besoin de sévères leçons de souffrance. Chaque opportunité nous est donnée par le Pouvoir Divin d’améliorer nos manières avant que, en dernier ressort, la peine et la souffrance doivent être appliquées. Ce ne sont pas forcément les erreurs de cette vie, ce jour à l’école, que nous combattons ; et bien que dans nos cerveaux physiques il n’y ait pas conscience de la raison de notre souffrance, qui peut nous apparaître cruelle et sans raison, nos Ames pourtant (qui sont nous-mêmes) connaissent pleinement ce dessein et nous guident à notre meilleur avantage. Néanmoins, la compréhension et la correction de nos erreurs raccourciraient notre maladie et nous ramèneraient à la santé.
La connaissance du dessein de l’Ame et le consentement à cette connaissance signifie le soulagement de la souffrance et de la détresse terrestres, et nous laisse libres de développer notre évolution dans la joie et le bonheur.

Il y a deux grandes erreurs : en premier, échouer à honorer et obéir aux ordres de notre Ame, et en second, agir contre l’Unité. En raison de la première, être toujours réticent à juger les autres, parce que ce qui est juste pour l’un est mauvais pour un autre. Le négociant, dont le travail est de faire un gros commerce non seulement à son propre avantage mais aussi à celui de tous ceux qu’il peut employer, prenant de cette façon conscience de l’efficacité et du contrôle et développant des vertus associées à chacun, doit nécessairement utiliser les différentes qualités et les différentes vertus telle une infirmière, sacrifiant sa vie dans le soin pour le malade ; et donc tous les deux, s’ils obéissent aux ordres de leurs Ames, apprennent exactement ces qualités nécessaires à leur évolution. C’est en obéissant aux commandements de notre Ame, notre Moi Supérieur, que nous apprenons à travers la conscience, l’instinct et l’intuition, ce qui est important.

Ainsi nous voyons que par ses véritables principes et sa véritable essence, la maladie est à la fois prévisible et curable, et c’est le travail des guérisseurs spirituels et des physiciens de donner au souffrants, en plus des médicaments, la connaissance de l’erreur de leurs vies, et la manière dont ces erreurs peuvent être éradiquées, et aussi pour ramener les malades vers la santé et la joie.
Ce que nous connaissons en tant que maladie est le stade terminal d’un désordre plus profond, et pour assurer un complet succès dans le traitement il est évident que traiter avec seul le résultat final ne sera pas pleinement efficace sans que la cause fondamentale ne soit aussi retirée.
Il y a une erreur primordiale que l’homme peut faire, et c’est une action contre l’Unité ; ceci prend son origine dans l’amour de soi. Aussi nous pouvons dire qu’il n’y a qu’une affliction primordiale—malaise, ou maladie. Et comme l’action contre l’Unité peut être divisée en différents types, la maladie peut aussi—le résultat de ces actions—être séparée en groupes principaux correspondant à leurs causes. La véritable nature d’une maladie sera un guide utile pour aider à la découverte du type d’action qui a été faite contre la Loi Divine d’Amour et d’Unité.

Si nous avons dans notre nature suffisamment d’amour pour toutes les choses, alors nous ne pouvons faire du mal ; parce que cet amour resterait en nos mains à chaque action, dans notre esprit à chaque pensée qui pourrait nuire à un autre. Mais nous n’avons pas à ce jour atteint la perfection ; si nous l’avions, nous n’aurions plus besoin d’exister ici. Mais tous ceux d’entre nous qui souffrent en esprit ou dans leurs corps sont par cette véritable souffrance amenés vers cette condition idéale ; et si nous lisons cela correctement, nous pouvons non seulement hâter notre marche vers ce but, mais aussi nous sauver nous-mêmes de la maladie et de la détresse.
Du moment où la leçon est comprise et l’erreur éliminée, il n’y a plus besoin de correction, parce que nous devons mous souvenir que la souffrance est en elle-même bienfaisante, en cela qu’elle nous désigne où nous prenons les mauvais chemins et hâte ainsi notre évolution vers sa glorieuse perfection.

Les véritables principales maladies de l’homme sont des défauts tels l’orgueil, la cruauté, la haine, l’égoïsme, l’ignorance, l’instabilité et l’avidité ; et chacun d’eux, en le considérant, se trouve opposé à l’Unité. Des défauts tels que ceux-ci sont de réelles maladies (utilisant le mot dans le sens moderne), et c’est la persistance dans de tels défauts, après que nous avons atteint ce stade de développement où nous les connaissons comme mauvais, qui précipite dans le corps les résultats préjudiciables que nous connaissons en tant que maladies.

L’orgueil est du, en premier lieu, au manque de reconnaissance de la petitesse de la personnalité et sa dépendance absolue à l’Ame, et que tous les succès qu’elle peut rencontrer ne sont pas d’elle-même mais sont des bénédictions accordées par la Divinité intérieure ; deuxièmement, la perte du sens des proportions, du soi infime dans le plan de la Création. Comme l’Orgueil refuse invariablement de se courber avec humilité et résignation à la Volonté du Grand Créateur, il commet des actions contraires à cette Volonté. La Cruauté est un reniement de l’Unité de tout et un manque de compréhension que toute action hostile envers un autre est en opposition au tout, et par conséquent une action contre l’Unité. Aucun homme ne pratiquerait ces préjudices contre ceux qui lui sont proches et chers, et par la loi d’Unité nous devons croître jusqu’à ce que nous comprenions que chacun, en tant que partie du tout, doit nous devenir proche et cher, jusqu’à ce que, même ceux qui nous persécutent, suscitent seulement des sentiments d’amour et de sympathie.

La Haine est l’opposée de l’Amour, l’inverse de la Loi de Création. Elle est contraire au plan Divin tout entier et un refus du Créateur ; elle mène seulement à des pensées et actions telles qu’elles sont contraires à l’Unité et l’opposé de celles qui seraient dictées par l’Amour.

L’égoïsme, l’amour de soi encore est un refus de l’Unité et du devoir que nous avons envers nos frères les hommes, en mettant nos propres intérêts avant le bien de l’humanité et le soin et la protection de ceux immédiatement autour de nous.

L’ignorance est le manque d’apprendre, le refus de voir la Vérité lorsque l’opportunité est offerte, et mène à beaucoup d’actes mauvais tels qu’ils existent seulement dans les ténèbres et ne sont pas possibles lorsque la lumière de la Vérité et de la Connaissance est autour de nous.

L’instabilité, l’indécision et la faiblesse d’intention résultent quand la personnalité refuse d’être gouvernée par son Moi Supérieur, et nous conduit à trahir les autres à travers notre faiblesse. Une telle condition ne serait pas possible si nous avions en nous la connaissance de la Divinité Indomptable et Invincible, qui est en réalité nous-mêmes.

L’avidité mène à un désir de pouvoir. Elle est le refus de la liberté et de l’individualité de chaque âme. Au lieu de reconnaître que chacun de nous est ici bas pour développer librement son propre domaine de vie en accord avec les commandements de son âme seule, pour accroître son individualité, et pour travailler librement et sans retenue, la personnalité avec le désir avide de diriger, modèle et commande, usurpant le pouvoir du Créateur.

Tels sont des exemples de véritable maladie, l’origine et la base de toute notre souffrance et de notre détresse. Chacun de tels défauts, s’il persiste contre la voix du Moi Supérieur, produira un conflit devant nécessairement se refléter dans le corps physique, produisant son propre type spécifique de maladie. Nous pouvons à présent voir comment n’importe quel type de maladie dont nous pouvons souffrir nous guide vers la découverte de la faute qui réside derrière notre affliction.

Par exemple, l’Orgueil, qui est l’arrogance et la rigidité d’esprit, donnera naissance à ces maladies qui produisent la rigidité et la dureté du corps. La douleur est le résultat de la cruauté, par laquelle le patient apprend à travers sa souffrance personnelle à ne pas l’infliger aux autres, d’un point de vue mental ou physique.
Les peines causées par la Haine sont la solitude, un tempérament violent incontrôlable, les crises mentales nerveuses et les conditions de l’hystérie.
Les malades d’introspection—névroses, neurasthénie et conditions similaires—qui privent la vie de toute joie, sont causées par l’excessif Amour de soi.
L’ignorance et le manque de sagesse apportent leurs propres difficultés dans la vie quotidienne, et en plus, s’il y avait persistance dans le refus de voir la vérité lorsque l’opportunité en a été donnée, la myopie et un affaiblissement de la vision et de l’audition en sont les conséquences naturelles. L’instabilité du mental mène à la même caractéristique dans le corps avec ces différents désordres qui affectent le mouvement et la coordination.
Le résultat de l’avidité et de la domination sur les autres sont des maladies telles qu’elles rendent la victime esclave de son propre corps, avec des désirs et des ambitions freinés par la maladie.

En outre, la véritable partie du corps affectée n’est pas un accident, mais est en rapport avec la loi de cause à effet, et à nouveau sera un guide pour nous aider. Par exemple, le cœur, la fontaine de vie et donc de l’amour, est attaquée particulièrement lorsque le côté amour de notre nature envers l’humanité n’est pas développé ou mal utilisé ; une main malade indique une action fausse ou injuste ; le cerveau qui est le centre du contrôle, s’il est touché, indique un manque de contrôle dans la personnalité. Telles sont les conséquences de la loi établie.
Nous sommes tous prêts à admettre les nombreux résultats qui peuvent découler de la colère d’un tempérament violent, le choc de soudaines mauvaises nouvelles ; si des événements ordinaires peuvent ainsi affecter le corps, combien plus sérieux et enraciné sera un conflit de longue date entre l’âme et le corps.
Pouvons nous nous étonner que le résultat donne naissance à de tels gémissements telles que les maladies parmi nous aujourd’hui ?
Mais jusque là il n’y a pas motif à déprimer. La prévention et le soin de la maladie peuvent être trouvés en découvrant l’erreur à l’intérieur de nous-mêmes et en éradiquant cette faute par un développement sérieux de la vertu qui la détruira ; non en combattant le mal, mais en apportant un tel déluge de vertu opposée qu’elle sera balayée de nos natures.


RAYS SEPTEMBRE OCTOBRE 2000 DR. EDWARD BACH

Traduction Chantal Duros

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Message par Jean de Mareuil Lun 12 Mai - 13:35

La Madone de Saint Sixte
 
Une esquisse autographe pour La Madone Sixtine Fig. 44b), qui porte au dos une copie d’après une étude perdue de Raphaël pour L’École d’Athènes, représente la Vierge sur un banc de nuages. Elle est escortée en bas à droite par un ange volant, dans une pose très semblable à celle de l’angelot dessiné ici, qui jette des fleurs. Une figure analogue devait occuper une position correspondante en bas à gauche, par allusion à l’un des noms de la Vierge, santa Maria dei Fiori. Les anges qui jettent des fleurs reviennent souvent dans les retables de Fra Bartolomeo. 
                                                                                                                            Raphaël. La Madone Sixtine,  
                                                                                                                                                                                vers 1512-1513. Huile sur toile, 
                                                                                                                                                                             265 x 196 cm. Dresde, 
                                                                                                                                                                                  Gemäldegalerie Alte Meister.
 

La Madone de Saint Sixte

Qui donc prétend qu tu n'es pas divine ?
Quel incrédule ou quel blasphémateur
Ne sent bondir et tressaillir son cœur
Quand ta beauté rayonne et l'illumine ?
Déesse, ô Mère, ô rose sans épines,
Daigne me regarder de ta hauteur !
Moi qui crus le ciel vide, avec ferveur,
Vois, aujourd'hui devant toi je m'incline.

On peut nier l'enfer, nier les cieux,
Traiter de contes les esprits, les dieux,
Pourtant ta grâce est vraie, et sans égale.
Les dieux, le monde un jour les oubliera !
Mais toi, déesse, il te révérera
Jusqu'à la fin des temps — là, sur la toile.
La Madone de Saint Sixte
A alimenté la méditation des membres de nombreuses écoles de l'ésotérisme chrétien.
Raphaël ne se contenta pas de transmettre à ce chef d'oeuvre de l'art spirituel la simple beauté des formes.
La méditation sur cette peinture nous fera ressentir toute l'influence curative qui s'en dégage. Jadis, on utilisait ce tableau aux fins de guérison spirituelle.
La Madone de Saint Sixte exerce une influence de guérison permanente pour l'âme humaine; durant le sommeil, l'individu peut alors rêver de cette image et en recevoir même aujourd'hui, une véritable force curative.
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Message par Morteüs Sam 19 Juin - 2:02

Bien sûr qu'une mauvaise attitude, l'excès d'alcool, de soda, de nourriture, la pratique du sexe exagéré peuvent entraîner des maladies irréversibles et une mort précoce. De toute les manières l'aspirant investi premièrement en son éternité et la mort n'est qu'une étape...
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